Assemblage d'un robot issu de produits recyclés: Hébert

Publié le par gille-monte-ruici

Notre société internationale, toujours en quête de perfection et de ressourcement, s'est intéressée à nos ancêtres commerçants: la corporation des merciers, ces « marchands de tout et faiseurs de rien », suivant la définition de l’Encyclopédie de Diderot. Une exposition leur est consacrée au musée non pas B Nédictine mais cognac G.

 



À la fois négociant, importateur, collecteur, designer et décorateur, le marchand mercier a occupé un rôle majeur dans l’essor de l’industrie du luxe au XVIIIe siècle. Ce qui en toute modestie, retranscrit de manière contemporaine, correspond parfaitement à notre raison d'être. 


Les marchands merciers se trouvaient au cœur d’un réseau à trois pôles: le commanditaire, l’artisan ou artiste et, phénomène nouveau à la puissance croissante, la « mode ». Toujours avec l'humilité qui nous caractérise, la multinationale GMR perpétue à l'évidence cette noble lignée.

Au XIXe siècle, l’équivalent des merceries d’autrefois furent les grands magasins de nouveautés. 

 

 

En terme de nouveauté, et en hommage à l’un des plus célèbres merciers, nous avons baptisé ce robot Hébert.

Hébert se positionne naturellement dans une gamme à la croisée du luxe du design et de la mode, avec un bonus de high technology of course, puisque doté d'une ampoule !

 

 

 

Méditons sur cet écrit de Voltaire, évoquant Hebert

 

 

dont la rime s’applique tout autant à notre multinationale

"GMR est cher, mais il a du goût. Il faut payer son goût"

 

 

 

Publié dans robots

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