Sculpture robot: Elephant man
Dans la jungle, terrible jungle, le lion est mort ce soir.
Cet é-thé, les medias ont relayé l’histoire de Cecil le lion abattu par un dentiste américain, armé jusqu’aux dents. La gunpowder avait frappé !
Une vague d’émotion mielleuse sans précé-dent a alors déferlé sur les réseaux sociaux.
Le dentiste expliqua avoir é-thé dans son enfance bercé par les films de la Metro Goldwyn Mayer, vous savez, ceux avec cette introduction reconnaissable du lion rugissant; et spécifiquement par les œuvres de Cecil B de Mille. Il voulait donc en toute simplici-thé ressusci-thé ces moments précieux en revisionnant ces oeuvres sur une carpette en peau de lion. Pourquoi tant de haine ?
D’autant qu’il faut l’avouer, une profonde injustice règne en la matière, ce ne sont pas tous les animaux qui suscitent l’empathie du public…
Prenez l’éléphant Thé d’Europe, qui ne bénéficie d’aucune aura médiatique, ni sympathie particulière bien que chaque jour des milliers de sachets soient ingurgi-thé sans que personne ne s’en émeuve. A ce rythme il ne pourra survivre bien longtemps.
Accompagnés de nos fidèles boulathés, elles mêmes très préoccupées par ce sujet, nous avons décidé de réagir en lançant l'opération « ami(e) déshydra-thé(e) protecteur des grandes causes animalières perdues d’avance, abandonne le thé l’éléphant, préfère la cervelle de singe (vodka, grenadine, Bailey’s) »
Ensemble nous pouvons infléchir le cours des événements, car si l’éléphant s’écrit avec un thé, il n’y a jamais de fatali-thé même si le hasard s’écrit avec un dé.