Merci Guillotine
L’actualité récente a placé sur le devant de la scène, une pratique abolie en France depuis 1977.
Il ne s’agit ni de l’imprévisible victoire de la France au concours eurovision de la chanson, ni de la sortie de la guerre des étoiles opus premier qui dans la chronologie... deviendra incroyablement le N° IV, mais de la dernière décapitation !
La machine du brave Docteur Guillotin était quand même plus festive que les pratiques des hallucinés manipulés se référant à un au-delà mystique.
Généralement, sur la guillotine même, le condamné s’écriait « je ne suis pas coupable » ce à quoi, le bourreau répondait invariablement « on va vérifier de suite » les faits donnaient systématiquement raison à ce dernier. Marie Antoinette n’aurait jamais dû en mettre sa tête à couper !
C’est pourquoi à l’approche de la rentrée, il nous a semblé utile et pertinent de mettre un peu d’ordre dans nos fournitures de bourreau. Au sein de l’atelier dénommé « la tête chercheuse » rappelons le, nous avons donc mis bon ordre dans nos ustensiles, écrase main, écarteleur, chaines, potences, perceuses, scies, lames…
Nous avons découvert quelques têtes décapitées dont peut-être un jour les restes des corps ressurgiront.
A croire que l’esprit de Gillette, très rasoir au demeurant, nous imprègne.