Détournement artistique: La théorie du genre
Il ne vous aura certainement pas échappé ces derniers temps, que nos ateliers phosphorent sans retenue et sont en pleine interrogation sur la boulathé-orie du genre.
Nous assumons notre posture très conventionnelle au regard des stéreotypes sexistes fille/garcon. Plusieurs études tendent d'ailleurs à démontrer que les cerveaux masculins et féminins ne sont pas conçus de la même manière.
La femme utilise la totalité de son encéphale pour extrapoler toutes les conclusions additionnelles « Mais, si mardi elle portait une si jolie robe rouge, c’était nécessairement pour sortir, elle donc est allée faire des courses, probablement au marché, et voilà pourquoi je ne l’ai pas eue au téléphone, alors que je cherchais à la joindre pour lui raconter le truc incroyable qui est arrivé à ma soeur ».
Tandis que l’homme n’utilise qu’une infime partie de son lobe frontal gauche « femme rouge égal testosterone ».
A l'issue d'un vaste débat philosophique interne avec les équipes de production, sans surprise, nous avons conclu que les roses sont plutôt barbies et chiffons...
tandis que les bleus sont davantage graisse et boulons...
mais qu'en est-il du jaune ?
Les roses consultées pensent que le genre est naturellement féminin privilégiant Bridget jaune. Son journal avec moultes bonnes résolutions s'inspire grandement d'Orgueil et Préjugés et des mésaventures sentimentales des 5 filles Bennet. So cute !
Les bleus optent pour du masculin car jaune égal pétanque égal boules.