Hommage à la peinture flamande : la lampe de (Jérôme) poche.
Jérôme Bosch, peintre primitif flamand, restera dans l’histoire artistico-littéraire comme l’auteur de cette célèbre citation «l’affaire est dans la Bosch» tandis qu’il honorait fougueusement son épouse Alcid van Meervenne, qualifiée outrageusement par ses contemporains de vide Bosch.
Nous aurions pu d’une manière plus légère, évoquer sa fameuse collection de livres de Bosch; mais, il nous a semblé plus pertinent de revenir sur son iconographie fantastique, représentant un monde où l’enfer se mêlait au paradis. Bosch imaginait des monstres infernaux issus de gravures médiévales.
Un homme qui puise son inspiration dans le bestiaire fantastique, les monstres, la mystique, le théâtre, les travestis des processions, le charlatanisme, les calembours, l'abracadabra de l'astrologie, de la superstition, de la sorcellerie et de l'alchimie…, ne peut être un mauvais homme; il n’avait pas sa langue dans sa Bosch comme disait à regret la douce Alcid.
Toutefois le siècle des lumières, ne s’intéressa pas à sa production et ce n'est qu'au XIXe siècle que ce peintre sera redécouvert.
Il nous appartenait donc de rattraper ce sacrilège artistique et de lui rendre un hommage lumineux. Vous connaissiez la lampe frontale, la lampe torche, la lampe de chevet, voici...la lampe de Bosch en boitier plat métal.
La lampe de Bosch, pour s’en mettre plein la lampe, pour s’en mettre plein les Bosch.